Depuis Freud et la psychanalyse, les psychothérapies se sont développées, multipliant les points de vue sur le malaise, le mal-être, l’angoisse, le sentiment de ne plus y arriver, de ne plus se reconnaître.

Le premier outil pour accompagner les personnes amenées à consulter : la parole.

·       Parler permet de partager son expérience singulière, ses doutes, ses espoirs, d'exprimer parfois l'indicible. Le faire de parler à quelqu'un en dehors de sa famille, de ses proches, dans un cadre sécurisant et bienveillant, car non-jugeant, amène à cheminer à son rythme dans son intériorité.

·       Comprendre quelles stratégies ont été mises en œuvre à un moment de sa vie pour parvenir à s'adapter à un contexte, un environnement, et dans quelle mesure ces stratégies ne sont plus efficaces, voire sont devenues contreproductives ou dangereuses, lorsque le contexte a changé.

Il vous sera proposé :

·       Une écoute active et bienveillante;

·       Une analyse dans une approche systémique.

Parfois, lorsque les événements rencontrés ont débordé les capacités à les « digérer », à les intégrer à son histoire, parler peut ne pas suffire. Dans ce cas, c’est la réparation du système neuro-psychologique qui est recherchée, au-delà de la parole, en utilisant les capacités d'auto-guérison du cerveau :

• L'hypnose ericksonienne offre un espace intérieur
  où le corps et l'esprit unissent leurs possibilités, que ce soit
  pour diminuer le niveau de stress, ou permettre
  au patient d’accéder à ses propres ressources utiles pour surmonter tout ou partie de son problème, et envisager un avenir différent.
• Les mouvements oculaires (technique canadienne
  de l’IMO – Intégration par les mouvements oculaires -,
  voisine de l’EMDR), avec lesquels il est possible de neutraliser ou d'apaiser la perception du passé, de dépasser
  les événements traumatiques (récents ou anciens,
  ponctuels ou répétés) et de réduire ainsi les symptômes invalidants
  qui y sont liés. Une à trois séances sont à prévoir pour traiter chaque événement traumatique.
• L'Intégration du cycle de vie (ICV, ou Lifespan Integration), qui permet de renforcer peu à peu la confiance en soi, de développer un sentiment de sécurité intérieure, de créer de nouveaux schémas neuronaux, qui amèneront ensuite naturellement à de nouvelles réponses comportementales, et à de nouvelles perceptions des situations. 

La thérapie proposée utilise les différents outils thérapeutiques en fonction du moment où ils paraissent le plus pertinents. Le regard sur le(s) problème(s) évolue, de nouvelles manières d’y répondre apparaissent, au fur et à mesure du cheminement. 

Problématiques traitées 

•  Difficultés liées au travail : questionnements, mal-être,
  burn out, harcèlement, licenciement, départ
  à la retraite, perte de sens, perte de repères suite à
  un rachat, une restructuration, etc.
• Difficultés familiales, de couple, ruptures,
• Evénements traumatiques (agressions, accidents, traitements médicaux ou chirurgicaux invasifs, mal vécus, laissant
  des séquelles, violences intrafamiliales, etc.), qu’ils soient récents ou anciens,
• Dépression, phobies, dépendances,
• Douleurs chroniques. 

Les séances

Une séance dure de trois quarts d’heure à une heure, comportant parole et/ou outils neuro-psychologiques.
Les séances de mouvements oculaires, qui peuvent être plus longues (jusqu’à deux heures), sont programmées ponctuellement, pour travailler sur un sujet précis.

Les séances d'ICV peuvent également être plus longues, sont à envisager dans une perspective de thérapie à moyen terme.

Les séances sont programmées d’une fois sur l’autre : il n’y a pas de régularité imposée. C’est le patient qui décide à quelle échéance aura lieu le rendez-vous suivant, en fonction de l’investissement (à la fois en temps, financier et personnel) qu’il peut avoir à ce moment précis de son cheminement. 

Le règlement des séances 

Règlement des séances par chèque ou en espèces.

Certains contrats de mutuelles prenant en charge tout ou partie des séances, une facture pourra être fournie (il n'y a pas de prise en charge par la Sécurité sociale).